Tuesday, December 15, 2020

La vieillesse (partie 1)

   Selon mes recherches présentes, j’ai un doute très important, au sujet du fait que le vieillissement en tant que dégradation du corps soit inscrit dans le génome. Autrement il est bon de noter que comme pour l’âge adulte, il est bon d’arriver à celui-ci sans en avoir une trop mauvaise opinion pour éviter l’ambivalence de cette situation. Mais il est vrai qu’à cette période en plus de la cessation du pouvoir de reproduction (surtout pour les femmes), il y a le déclin accentué des sens, ainsi la manière la plus sûre de percevoir les choses, pourvu qu’elles ne soient pas nouvelles, est encore logiquement avec la mémoire des conclusions du temps pendant lequel les sens étaient en plein éveil (la capacité de raisonnement semble aussi en déclin). Il est donc important d’avoir eu un passé vertueux et ainsi une perception optimum des choses, ce qui permet donc des souvenirs les plus nets et fiables possibles. Dans le cas d’une vie pleine de vices la vieillesse est logiquement plus triste, ceci venant de l’amoindrissement des sens sans jamais avoir connu les choses comme le corps l’aurait pu. D’une manière plus explicite : la tristesse est le fruit du passage d’un état de l’être à un état moindre, en opposition à la joie qui va vers un état supérieur, et si pour compenser ceci, il n’y a pas la netteté de souvenirs issus de la vraie recherche du bien-être, la tristesse devient logiquement un état de mal-être très présent, et c’est ici l’enfer rationnel des vivants, le monde du vice, de la haine, et du triste fruit qu’on en récolte ; bien qu’il ne soit jamais trop tard pour essayer de se rattraper un minimum, car si quelques vices sont abandonnés on pourrait alors avoir un regain de considération et de sensibilité qui compenseraient un peu la perte due à la vieillesse ; ainsi une tristesse moindre reste un plus grand bien face à la vilenie du vice et de ses mauvaises habitudes, qui vous rendent détestables ou au moins méprisables, en remarquant qu’il ne faut pas essayer de trouver un regain de sensibilité dans la drogue, car elle ne l’éveille pas en réalité mais trouble les sens, au moins à terme (cf. adolescence). Ainsi ce sont les bonnes habitudes vertueuses qui laisseront mourir respectueusement en paix avec la bonté de souvenirs suffisamment fiables, qui d’ailleurs permettront encore de se faire valoir face à la bêtise qu’entraîne le vice à tous les âges ; de bons souvenirs devraient aussi rendre certaines activités agréables comme le fait de s’occuper de ses petits enfants, en pouvant même apporter ses conclusions sur le passé, ce qui est valorisant si les anciens enfants que sont les parents des petits enfants n’ont pas trop de reproches à faire ou sont d’accord sur l’estimation des erreurs. 

Tuesday, December 8, 2020

L'âge adulte (partie 12 et fin)

 

Sachant que dans la morale est prise en compte l’hygiène de vie relative à la santé du corps et de l’esprit. Aussi la considération graduelle vient du fait qu’après chaque interprétation, ce qui a été considéré fera partie des éléments qui serviront dans les interprétations à venir.    

Tuesday, December 1, 2020

L'âge adulte (partie 11)

 

    

Considérant que la conscience permet le remaniement des formes des équilibres (voir définition dans "Labels" dans la colonne à droite) et le contrôle des autres facultés ci-dessus et de leurs conséquences, ceci grâce au détachement des sens en tant qu’ils se limitent à la considération instantanée du monde.


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