Tuesday, September 29, 2020

L'âge adulte (partie 2)

    Aussi n’oublions pas la satisfaction de notre corps car si l’acte raisonné est préférable donc satisfaisant moralement, il ne faut pas trop rejeter les effets des sens, parce qu’il n’y a pas de mal à contenter les sens si cela contente aussi la morale ; en effet la vie trouve ses directives initiales dans la perception des sens, mais il faut ensuite savoir choisir un moindre mal pour un plus grand bien dans le futur. En fait la perception interne et externe réglée par de bonnes habitudes, donc par la vertu, peut devenir plus un soutien pour la morale qu’un opposant, opposition qui se présente trop souvent avec de mauvaises habitudes, la vie devient donc beaucoup plus douce et tranquille une fois la fougue des mauvaises habitudes domptée ; et ici se développe donc la sérénité qui ajoutée à la satisfaction, personnelle et relative aux problèmes qu’on évite avec les autres, d’être vertueux, devient le bien-être optimal et donne le souverain Bien avec les plus et les moins dus à la nature humaine. Tout en notant que les sens procurent plus de plaisir quand on est en bonne santé, il y a une ambiance intérieure qui est très importante, mais il faut peut-être le vivre pour le comprendre (les meilleurs souvenirs sont souvent ceux de quand la santé était meilleure). Contrairement par le vice on peut s’agresser d’une part soi-même corporellement (alcool, cannabis…), ce qui gêne aussi le raisonnement, et d’autre part les autres par l’énervement qui en découle, ces autres que son vice peut aussi agresser indépendamment de son irritabilité par un vil égoïsme ; agression qui dans tous les cas relativement à soi ou aux autres est peu valeureuse, donc peut être déprimante, et/ou porte à la rancune, donc peut entraîner la paranoïa, selon quoi le vice trop prononcé développe la basse folie. 

Tuesday, September 22, 2020

L’âge adulte (partie 1)

    Avant le passage à cet âge entraînant la responsabilité, il y a généralement une remise en question de nos acquis qui peut donner une impression de retour dans les préjugés de pleine adolescence et ceci justement pour confirmer nos acquis face aux préjugés ; en effet pour bien connaître son bonheur il faut en être conscient en le relativisant avec un plus grand mal, ce qui apaise la peur de vieillir, d’ailleurs pour que cette transition se passe bien il est mieux d’éviter l’ambivalence due à un trop grand rejet du monde adulte pendant l’adolescence. Ainsi ensuite la vie devrait devenir plus stable, mais comme il a été montré le doute peut être positif, donc il est alors bon de l’utiliser méthodiquement, ce qui est bénéfique pour assurer les constantes des raisonnements et mieux les comprendre. Nous comprenons donc que cet âge ne tient pas seulement à la maturité stabilisante intellectuellement de notre corps, mais aussi à celle minimale de notre âme relativement à ses jugements, ainsi nous pouvons concevoir avoir atteint ce cap relativement à la pensée quand notre sagesse et la maturité de notre méthode d’analyse nous permettent de nous soumettre à une règle de vie responsable qui nous rapproche de la manière dont la Nature veut que nous agissions en vérité, ainsi qui satisfait aux règles psychologiques en tant que principes de gestion de l’encéphale par la pensée, et médicales en tant que principes de préservation du corps, ce qui permet de bien penser ; donc qui satisfait aux règles du fonctionnement des humains pour leur bien-être ; c’est pour ceci que la vérité, qui est le sens de  « l’ordre des choses », est un bon concept de base pour une morale, mais la vérité est infinie par rapport à ce que nous pouvons savoir, ainsi il est raisonnable de nous restreindre de manière juste à celle qui nous est utile ; considérant que l’égoïsme, quand il est optimal, est vertueux et devient le savoir-vivre en respectant chacun dans les fondements les plus généralement répandus, de manière à être vraiment heureux, car c’est s’il est mal calculé donc grossier qu’il pose des problèmes en offrant seulement un bonheur médiocre, puisqu’il risque alors d’entraîner des remontrances, et plus il est appliqué ainsi plus il y a de craintes, donc de paranoïa, et s’il n’y a plus d’autre choix que de changer ce comportement (je ne le précise pas à chaque fois, mais cela ne me concerne pas), ceci risque d’entraîner selon la bonne volonté passée et présente plus ou moins passagèrement de la schizophrénie ; sinon si ce n’est qu’un comportement exceptionnel il entraîne en plus de la crainte le malaise des remords, car il faut tout de même combattre sa logique. 

Tuesday, September 15, 2020

Pendant l'adolescence (partie 13 et fin)

    Nous pouvons donc conclure que voyage ou non, l’adolescence est une période durant laquelle l’équilibre corporel et spirituel est instable. Mais relativement à l’évolution de la pensée, selon les expériences plus ou moins libres de la vie en référence à la volonté humaine, nous avons différents facteurs à prendre en compte : celui de l’exercice de la pensée et de la volonté l’accompagnant, celui du potentiel à réfléchir considérant la variation due à la croissance(1), mais il y a aussi le signe évolutif de la sagesse qui peut intervenir directement sur les deux précédents facteurs en fonction de l’hygiène de vie, et enfin il y a la chance de pouvoir faire le meilleur choix à un instant donné, ce qui est qualitatif et non quantitatif.

(1) : Il y a une croissance du volume cérébral mais l’évolution de la complexité des liaisons entre neurones pourrait aussi compter.


Tuesday, September 8, 2020

Pendant l'adolescence (partie 12)

    Autrement selon une expérience déterminée mais dont on peut plus ou moins prévoir les effets et les aléas, il y a une stimulation du fait de devoir effectuer, comprendre un jugement, passer outre des préjugés et aussi revoir nos habitudes ; j’en ai fait l’expérience et je vais donc vous l’exposer, bien que celle-ci comme la taille ne soit pas un élément suffisant pour devenir plus intelligent, en plus ceci ajouté à l’instabilité de l’adolescence peut être trop. Après avoir étudié trois ans en Grande-Bretagne (et un an en Allemagne, aussi j’ai eu de nombreux amis natifs de ces pays à cette période) c’est du voyage dont je veux traiter, car il est certain celui-ci stimule la pensée et ceci de par le fait qu’un environnement étranger nous force à réfléchir ou à rejuger ce que nous avons jugé d’une autre manière dans notre pays et dans une autre langue, ce qui nous pousse ainsi à revoir nos habitudes, mais affirme aussi le chemin de l’esprit en concevant bien que différents mots peuvent exprimer la même logique. Cependant pour ne pas devenir fous (ce que personnellement j’ai évité) à cause de l’instabilité et de la fatigue que provoque le doute en nos pensées, en laissant parfois même la place à nos passions (de manière non excessive pour moi), ce qui pourrait nous perdre comme sur un océan dont nous ne connaissons pas tous les repères, les écueils et les limites, où ainsi nous nous sentons diminués ; mais pour profiter au mieux de notre stimulation intellectuelle : il est probable qu’il soit meilleur de retourner dans l’environnement où nous avons établi les bases de nos pensées (ce que j’ai fait) et donc nos points de repères, surtout si nous les reconnaissons meilleurs que les nouveaux qui nous sont proposés après plusieurs années (ce que des amis natifs du pays étranger peuvent confirmer), ceci pouvant aussi varier selon les différents milieux plus ou moins intellectuels d’une civilisation, et les périodes ; ainsi que nous ayons fait naître le doute dans notre esprit en voyageant devient exploitable, avec suffisamment de stabilité pour bien pousser la remise en question. En plus du problème d’instabilité et de fatigue le fait que le séjour se passe dans un pays où on parle une langue étrangère peut produire un autre trouble psychologique contingent, car on prend l’habitude d’essayer de combler le plus rapidement possible certaines parties de discours, qui semblent juste être du bruit, par des mots qui pourraient y correspondre, ainsi peut se développer un problème qui est celui d’interpréter n’importe quel bruit comme une possible association de mots, ce qui peut donner l’impression d’entendre des voix(1) ; sachant en plus que ces voix peuvent dire des choses irritantes selon l’état d’esprit dans lequel on se trouve, ce qui peut déclencher des crises d’énervement (passagères si cela s’accompagne d’une douleur passagère par exemple) ; cependant il faut remarquer que ceci peut arriver aussi à ceux qui simulent souvent des conversations seuls et de manière interne, d’ailleurs le fait d’écouter des chansons en langue étrangère pourrait poser un peu le même problème mais l’impératif des délais de compréhension n’est pas propice à développer à un tel point le phénomène. Suivant ces différents problèmes il faut comprendre aussi que les mieux disposés et prédisposés, dont je faisais partie, sortent les plus bénéficiaires d’expériences à l’étranger, car il faut prendre garde au méandre de la folie pour les autres s'ils n'ont pas suffisamment de logique pour bien juger et rejuger les choses ; et comprendre aussi que si cela dure trop longtemps, au point de faire partie de cette autre civilisation que nous visitons, nous risquons fort de nous retrouver dans une situation handicapante, ceci de par le fait que nous ne parlons pas cette langue comme ceux qui, aussi bien prédisposés que nous, sont nés avec, et enfin nous sommes toujours perçus plus ou moins comme des étrangers, ce qui enlève du crédit et peut pousser à l’histrionisme ou à la paranoïa (merci d’éviter de m’appliquer ceci). Il peut être possible que cela soit au moins équivalent dans un autre pays si nous sommes lésés dans le nôtre et que les règles naturelles de l’humanité sont mieux appliquées dans le pays que nous voulons intégrer. Aussi remarquons que la vertu du peuple et de ses dirigeants comme le confirme M. (de) Montesquieu (cf. De l’esprit des lois 1) est bien la clé de la cohésion d'un pays avec les règles naturelles de l'humanité et si un pays rejette ces règles, on peut se douter qu'il s'éloigne des vertus et quand il devient trop difficile de les rétablir dans notre patrie il est naturel d'aller les chercher ailleurs. En recherchant la vertu logiquement nous devons d’abord nous tourner vers la république et surtout pour l’instant la peut-être utopique démocratique de base, qui puisse exister seulement si la vertu règne, car sinon le peuple n'est pas apte à prendre des décisions au nom de sa patrie puisqu’il ne peut même pas en prendre de bonnes pour lui-même ; bien qu’il soit bon de noter que le peuple ne puisse être consulté, surtout selon un suffrage  basique, que dans des considérations très générales car il n’a pas le même statut qu’un expert comme le confirme Socrate dans Criton de Platon. Le problème est qu’un Etat qui ne peut exister que de par la vertu générale ne peut pas se permettre, s’il y arrive (la France n’y arrive pas en ce moment, mais cela n’est peut-être pas possible), de s'avilir en acceptant des étrangers aux mœurs douteuses car les faibles d’esprit se laisseraient détourner trop facilement et dès lors l’équilibre du pays serait en danger (ceci restant plus ou moins vrai selon le degré d’implication du peuple dans les décisions). Pour ce qui est du racisme, il ne semble pas devoir être accepté, même si certaines caractéristiques physiques formant les races laissent deviner une adaptabilité plus ou moins bonne à certains climats, car ceci ne démontre aucunement la valeur d’une race par rapport à une autre dans l’absolu mais seulement relativement. Cependant il est difficile d’être naïf au point de ne pas se rendre compte que l’intelligence donne à certaines races le dessus sur d’autres pour beaucoup de choses, même si elle ne s’adapte pas aussi bien à tous les climats, et que le mélange excessif de certaines races peut mettre l’intelligence en danger ; sachant qu’elle rend la vie plus agréable en résolvant beaucoup de problèmes (être intelligent est normalement plus agréable que de ne pas l’être).

(1) : Pour ma part je dois avouer que cela n’a pas été trop prononcé, car contrairement à d’autres je ne me suis pas fait conseiller l’hôpital psychiatrique (je n’ai jamais rien eu dans les limites du vraiment anormal), ce que les professeurs pouvaient être censés faire.  

   Pour ce qui est de la vertu je veux préciser que en général, donc toutes confondues, elle mène à l'amour du pays qui se trouve donc en être une. Mais il faut faire attention à ne pas laisser l'inclination vers le vice donc cette passion passer avant, car de ceci naît la corruption.  

   Il résulte donc de tout ceci que le salut, aux yeux de notre peuple et des autres, est dans la vertu et que l’utile et juste vérité est un bon moyen de s’y tenir. Cependant si c’est pour chercher le vice qu’on veut partir, je crois que cela risque de rendre la vie encore plus difficile, car dans ces Etats il n’y a pas de lois sûres et le rejet des étrangers est souvent plus fort finalement ; en plus, du vice il y en a normalement toujours suffisamment pour lui préférer la vertu après expérience.


Tuesday, September 1, 2020

Pendant l'adolescence (partie 11)

    De par ailleurs selon des expériences libres, plus qu’issues de la volonté humaine, la vie offre des situations qui confortent vers la réflexion et stimulent l’établissement de règles du bien-être par la nécessité de juger et de rejuger rapidement des choses, des préjugés et aussi nos habitudes : ainsi on pourrait penser considérant que la considération d’autres personnes peut être telle, que ceci peut expliquer le préjugé de l’intelligence en fonction de la taille et de la musculature, car les plus grands et musclés en moyenne durant la croissance et à terme s’affirment souvent moins par l’intelligence, expliquer car on peut penser qu’ils ont eu trop facilement ce qu’ils voulaient sans y réfléchir (ici considérons plutôt les hommes). Mais pour la musculature passé une certaine limite, ceci semble être souvent par un manque de potentiel intellectuel (car il devient difficile d’avoir le temps pour être intelligent et aussi musclé), donc par choix professionnel par exemple ; cependant il est possible (pour un homme) d’avoir un beau corps suivant l’instinct féminin et d’être intelligent, en gérant bien les apports (vitamines, minéraux …) pour l’intelligence et pour l’exercice physique. Autrement pour la taille, je pense que la Nature (peut-être pour une raison d’équilibre) semble faire en sorte que l’humain ne devienne pas très grand et ceci par le fait (et je ne sais pas comment : gènes…) que les plus grands n’aient pas à son plus haut niveau l’atout humain le plus puissant qu’est la puissance de raisonnement (avec l’inventivité qu’elle permet). Aussi il est juste que si les plus grands dominaient vraiment, l’humain pousserait très probablement sa taille autant que possible ; et cela pourrait devenir un danger pour lui-même (ressources…) et son environnement. Ainsi la motivation produite par la différence de taille ne semble pas suffisante pour justifier que les plus grands ne soient pas les plus intelligents, car les grands aussi subissent une pression par moment, avec des réflexions relatant du fait qu’ils ne sont pas les plus intelligents. Mais notons qu’être petit ou moyen ne garantie pas l’intelligence, et je ne veux pas qu’on pense que les grands ne sont pas intelligents, cependant attention à la vanité de certains (grands ou non) qui pourraient prétendre qu’être plus intelligent qu’eux serait l’être trop, cela est faux, car si cela est trop, ce n’est pas intelligent de l’être.

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