Tuesday, September 22, 2020

L’âge adulte (partie 1)

    Avant le passage à cet âge entraînant la responsabilité, il y a généralement une remise en question de nos acquis qui peut donner une impression de retour dans les préjugés de pleine adolescence et ceci justement pour confirmer nos acquis face aux préjugés ; en effet pour bien connaître son bonheur il faut en être conscient en le relativisant avec un plus grand mal, ce qui apaise la peur de vieillir, d’ailleurs pour que cette transition se passe bien il est mieux d’éviter l’ambivalence due à un trop grand rejet du monde adulte pendant l’adolescence. Ainsi ensuite la vie devrait devenir plus stable, mais comme il a été montré le doute peut être positif, donc il est alors bon de l’utiliser méthodiquement, ce qui est bénéfique pour assurer les constantes des raisonnements et mieux les comprendre. Nous comprenons donc que cet âge ne tient pas seulement à la maturité stabilisante intellectuellement de notre corps, mais aussi à celle minimale de notre âme relativement à ses jugements, ainsi nous pouvons concevoir avoir atteint ce cap relativement à la pensée quand notre sagesse et la maturité de notre méthode d’analyse nous permettent de nous soumettre à une règle de vie responsable qui nous rapproche de la manière dont la Nature veut que nous agissions en vérité, ainsi qui satisfait aux règles psychologiques en tant que principes de gestion de l’encéphale par la pensée, et médicales en tant que principes de préservation du corps, ce qui permet de bien penser ; donc qui satisfait aux règles du fonctionnement des humains pour leur bien-être ; c’est pour ceci que la vérité, qui est le sens de  « l’ordre des choses », est un bon concept de base pour une morale, mais la vérité est infinie par rapport à ce que nous pouvons savoir, ainsi il est raisonnable de nous restreindre de manière juste à celle qui nous est utile ; considérant que l’égoïsme, quand il est optimal, est vertueux et devient le savoir-vivre en respectant chacun dans les fondements les plus généralement répandus, de manière à être vraiment heureux, car c’est s’il est mal calculé donc grossier qu’il pose des problèmes en offrant seulement un bonheur médiocre, puisqu’il risque alors d’entraîner des remontrances, et plus il est appliqué ainsi plus il y a de craintes, donc de paranoïa, et s’il n’y a plus d’autre choix que de changer ce comportement (je ne le précise pas à chaque fois, mais cela ne me concerne pas), ceci risque d’entraîner selon la bonne volonté passée et présente plus ou moins passagèrement de la schizophrénie ; sinon si ce n’est qu’un comportement exceptionnel il entraîne en plus de la crainte le malaise des remords, car il faut tout de même combattre sa logique. 

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