Tuesday, October 27, 2020

L'âge adulte (partie 6)

    D’un autre côté les aléas de la vie font qu’il faille considérer le fait d’une possible progression morale et intellectuelle chez la femme comme chez l’homme (ce qui peut être positif ou négatif). Sachant tout de même qu’ils doivent être considérés l’un par l’autre selon leurs habitudes et non un comportement éphémère, ce qui justifie vraiment un délai dans la formation du couple, délai qui est préférable quand on comprend, que les hommes les plus moraux se trouvent le moins à l’aise avec les femmes à l’opposé, et normalement réciproquement, car il y a trop de différences dans leurs habitudes, et même si des efforts sont faits d’une part et d’autre ceux-ci devant être trop grands ils éveillent de l’agressivité ; ainsi le célibat (considérant aussi une rupture) peut être mieux que de partager sa vie avec un style de personne dont nous ne cherchons pas du tout la compagnie normalement. Avec ceci, pour ce qui est des apparences le mieux à souhaiter du côté de l’homme comme de celui de la femme est un physique sain (donc qu’il faut entretenir), et pour la tenue, une tenue non provocante moralement. Mais il faut noter qu’en période de séduction, on peut être mené à montrer un minimum ses formes (donc son état de santé) et que le fait d’être plus ou moins habillé dépend des saisons et de l’endroit où on se trouve (par exemple un endroit où il ne faut pas perturber les gens ou un endroit réservé aux célibataires qui cherchent à se mettre en couple).                    

Tuesday, October 20, 2020

L'âge adulte (partie 5)

    Autrement selon l’ordre normal pour qu’un couple puisse durer, donc leur foyer, il faut une certaine stabilité dans la relation, ce que les enfants apportent ; et d’un côté surtout un garçon pour un homme, car il va pouvoir lui faire passer ses expériences et ainsi les entretenir, en essayant tout de même de ne pas l’empêcher d’expérimenter la vie dans les limites du respect des autres et de sa propre vie, afin d’être sûr de lui, autonome, et de pouvoir relativiser son bonheur ; mais il pourra lui donner des directives qui seront présentes dans sa mémoire quand il doutera, se sentira abandonné et déçu par un style de vie qui pourrait être amélioré ; ce sont des conseils bien inculqués et qui ne laissent pas le souvenir du pouvoir d’un tyran qui sont les plus propres ensuite à influencer les décisions sans réticence et avec confiance, considérant qu’ainsi un signe inhabituel de fermeté donne vraiment un signal d’alarme ; pour cela il faut donc aussi qu’il y ait un crédit paternel de par la véracité de ses conseils et de ses propos, sans oublier de faire remarquer que l’être humain est imparfait et soumis à l’erreur quoi qu’il arrive, ce qui ne devrait pas suggérer de ne pas faire de son mieux. De l’autre côté il en est de même pour l’effet d’avoir une fille pour une mère, mais il ne faut pas oublier de considérer que le conseil d’un père soit important pour une fille, et réciproquement celui d’une mère pour un fils, ceci en vue d’une considération d’entente entre les deux sexes. En plus pour qu’un couple soit vraiment solide il faut qu’il connaisse l’amour de bienveillance qui implique de mettre la recherche du bien de quelqu’un d’autre à la place du sien, cependant ceci est possible uniquement dans la vertu donc pour un homme seulement si une femme agit normalement par rapport à sa propre nature et pour le bien de la communauté, donc d’une manière socialement correcte, ainsi pour le bien de l’homme ; selon quoi il faut que chaque moitié soit sûre que l’autre l’accompagnera là où il faut pour le bien de l’humanité, ce qui implique ici que la compétition (du genre guerre des sexes) soit impossible. Enfin nous pouvons remarquer que dans une famille ordonnée selon ces principes normaux et cohérents, la femme a un rôle unificateur entre le père et les enfants, en référant de la situation de manière à faire évoluer en retour l’éducation dans le sens de la société. Cependant le père honnêtement, en retour de ce que la société lui a offert, a comme motivation l’avenir de son pays, qu’il peut de manière optimale confondre avec l’aspect futur que lui apporte sa famille, ce qui fait qu’il pense constamment à l’un quand il pense à l’autre et réciproquement ; aussi il est normal qu’il réserve une partie de sa journée particulièrement à sa famille, en partageant les problèmes exposés par une femme qui n’a pas peur d’être honnête avec lui en fonction de la vertu qu’il témoigne, tout en se sentant aussi redevable à son pays. De manière générale nous pouvons noter que l’espoir fait vivre, et ici avancer revient à chercher des jours meilleurs et donc une entente paisible dans la population, ce qui s’incarne directement dans la famille, et pour ceci il faut construire et ce sentiment de construction pour le futur fait partie de ce qui donne envie de vivre à l’homme, comme si le fait de faire des enfants et de construire pour eux, était inscrit de manière innée dans sa nature par le déclenchement d’une joie de vivre venant de la déclaration d’une raison existentielle solide, symbolisée par les femmes et leur travail à bien préparer les enfants à devenir des adultes pleins d’espoir ; l’aspect futur de la descendance se trouve aussi être une raison de vivre solide pour la femme et ceci surtout si c’est assuré par la bonne volonté venant du travail masculin, ainsi réciproquement l’homme et ses efforts fertiles symbolisent l’espoir de la femme ; évidemment pour que ceci soit il est préférable d’avoir raisonné et prévu le fait d’avoir un enfant quand il arrive, ce qui laisse le temps de construire quelque chose avec sagesse pour pouvoir ensuite fonder une famille sur du stable et solide. Ainsi l’espoir humain le plus considérable paraît bien, comme celui de permettre une existence future durable et plus parfaite portant ses germes, et que nous retrouvons déjà de manière instinctive pour le spermatozoïde, ce qui le pousse à se diriger de manière déterminée pour intégrer l’ovule qui semble tout aussi instinctivement guider son chemin pour le même salut ; sens des choses qui se traduit dans l’humanité par la fusion instinctive et raisonnée entre les deux sexes dans l’espoir d’une existence future venant de leurs germes et profitant de leurs efforts allant dans le sens de lui offrir une perfection plus grande, cela de par une meilleure cohésion, l’évolution des découvertes, et le soutien que tout ceci nécessite.      

Tuesday, October 13, 2020

L'âge adulte (partie 4)

   Il est donc aisé de comprendre que pour entretenir et améliorer cette chaîne de connaissances, il est préférable qu’une femme ait pour priorité dans ses responsabilités d’avoir des enfants et de bien les élever, aussi tôt que possible, et surtout si elles sont bien faites pour faire des enfants (donc féminines(1) avec de l’instinct et un minimum d’intelligence s’il le faut), aussi relativement aux connaissances, il est très important que ceux qui les font avancer (découvertes, inventions …) se reproduisent, car leurs gênes sont importants et leur intelligence nécessaire pour que ces connaissances soient bien utilisées (donc aussi dans leur intérêt). Autrement relativement à certains traits physiques qui reviennent souvent avec l’intelligence, il est difficile de ne pas vexer certaines personnes, et je ne suis pas sûr que nous soyons libres d’écrire tout ce que nous voulons ; cependant je ne suis pas sûr que le bon choix soit d’avoir des enfants grands et blonds dans le sens de ce que disait Adolf Hitler ou typés comme les grecs d’aujourd’hui relativement au fait qu’il y a eu des penseurs importants dans ce pays, il y a très (trop) longtemps. En outre la folie et l’innovation scientifique ne vont pas bien ensemble, car cette innovation demande généralement de la logique, aussi la logique et la folie sont opposés ; malheureusement certains produits utilisés en science peuvent rendre fou, comme ceux qui donnent le cancer et provoquent ainsi souvent une douleur chronique. De plus, au début du paragraphe, j’écris « aussi tôt que possible » au sujet d’avoir des enfants, car ceci est mieux quand le corps est en bonne santé, donc généralement jeune, car ainsi l’irrigation sanguine est meilleure, donc le fœtus et l’utérus sont mieux irrigués, d’où le résultat devrait être meilleur (c’est un peu comme pour une graine, il faut qu’elle soit bien irriguée et le germe bien alimenté) ; aussi les seins sont mieux irrigués et fonctionnent donc mieux. Avec ceci il y a aussi le fait que la peau est plus élastique, ainsi le ventre se détend et se retend mieux et les tissus se détendent mieux pour l’accouchement. En plus l’intestin est généralement en meilleure santé (moins gonflé, irrité…), il y a donc moins de problèmes, quand le fœtus pousse dessus pendant sa croissance. Enfin la femme peut toujours s’occuper d’autre chose que de ses enfants et de son homme, si elle le souhaite une fois que son rôle devient moins important. 

(1) : Il y a la féminité des formes (due en partie aux œstrogènes), mais aussi le fait que certaines femmes peuvent produire plus ou moins de testostérone par exemple, ce qui peut poser des problèmes pour avoir des enfants, et influer sur le comportement (certaines demandent même une réflexion sur leur sexe, comme le sport a pu le montrer pour la place de championne).  


Tuesday, October 6, 2020

L'âge adulte (partie 3)

    Ainsi nous devons avoir compris qu’être intelligent n’est pas une fin en soi car si c’est au service du vice nous sommes très mauvais et si c’est au service de la vertu nous sommes très bons, bien qu’au service du bien on soit toujours plus intelligent en fin de compte qu’au service du mal (être intelligent est une chose, mais le rester en est une autre). De par ailleurs imiter les autres seulement n’est généralement pas suffisant pour bien mener sa vie, mais ceux, qui sont assez raisonnables pour se soumettre aux règles que « l’ordre des choses » donne à d’autres parce qu’ils ne comprennent pas suffisamment de concepts de la Nature pour avancer quand la vie les force à faire un choix, ne peuvent pas être blâmés au contraire ; mais il faut encore qu’ils s’assurent que celui qu’ils suivent va bien dans le bon sens et ainsi par exemple ne pas trop se fier aux richesses qui ne sont pas tout le temps le fruit des vertus (et ne vont donc pas toujours avec le bonheur qui dépend de la santé, même s’il faut un minimum de richesse). Cependant relativement au bon sens, donc à la manière de le trouver, il est clair que notre entourage est composé d’une infinité de choses qui dépendent les unes des autres en tant que parties de « l’ordre des choses », et nous aussi nous dépendons d’elles de par l’équilibre des forces et les échanges d’énergie, qui agissent dans le sens de la possibilité de l’existence commune selon les priorités ; c’est pourquoi plus nous connaissons les choses qui nous entourent plus il nous est simple de suivre le plus adéquatement possible leur équilibre ou de reconnaître ceux qui les suivent (il faut aussi écouter son instinct, car il gère des choses très complexes) ; aussi il est vain d’aller à l’encontre des règles que « l’ordre des choses » applique à ses parties car leur équilibre est infiniment puissant, donc il est bon de nous y soumettre, sans oublier qu’une des règles du vivant est la survie ; selon quoi il vaut mieux s’adapter au sens que les choses ont prouvé depuis longtemps que de vouloir tout changer, à moins que nous trouvions à certains faits une absurdité démontrable clairement. Ainsi nous devons prendre part selon nos capacités et nos vertus à l’action humaine et plus spécialement à celle de notre civilisation ; selon quoi nous participons à différents échelons à la construction de la chaîne des vérités découvertes, ce qui fait notre puissance et devient inévitable face au développement des autres civilisations, ceci comprenant qu’il faille le plus possible faire participer utilement les citoyens, des différents échelons, à la société pour éviter les dérives morales individuelles nuisibles à sa cohérence ; d’ailleurs considérant que nos capacités et nos vertus peuvent changer, notre échelon devrait pouvoir en faire autant. Aussi il est bon de remarquer que les vérités simples que le meilleur penseur puisse acquérir en une seule vie ne suffisent pas pour vivre sereinement donc sans une trop forte crainte de se faire agresser ou de tout perdre, selon quoi il faut cumuler les connaissances des générations et se fortifier par le rapprochement de « l’ordre des choses » donc de connaissances complètes et parfaites ; et même si la connaissance démultiplie la force, l’habileté, et améliore la résistance du corps face aux maladies, il faut aussi considérer le cumul des actions (de plusieurs personnes) qui augmente l’étendue et la flexibilité de la puissance, en permettant ainsi d’organiser selon les spécificités corporelles de chacun la protection et le développement de ce qui est vraiment bien. 

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