Autrement selon l’ordre normal pour qu’un couple puisse durer, donc leur foyer, il faut une certaine stabilité dans la relation, ce que les enfants apportent ; et d’un côté surtout un garçon pour un homme, car il va pouvoir lui faire passer ses expériences et ainsi les entretenir, en essayant tout de même de ne pas l’empêcher d’expérimenter la vie dans les limites du respect des autres et de sa propre vie, afin d’être sûr de lui, autonome, et de pouvoir relativiser son bonheur ; mais il pourra lui donner des directives qui seront présentes dans sa mémoire quand il doutera, se sentira abandonné et déçu par un style de vie qui pourrait être amélioré ; ce sont des conseils bien inculqués et qui ne laissent pas le souvenir du pouvoir d’un tyran qui sont les plus propres ensuite à influencer les décisions sans réticence et avec confiance, considérant qu’ainsi un signe inhabituel de fermeté donne vraiment un signal d’alarme ; pour cela il faut donc aussi qu’il y ait un crédit paternel de par la véracité de ses conseils et de ses propos, sans oublier de faire remarquer que l’être humain est imparfait et soumis à l’erreur quoi qu’il arrive, ce qui ne devrait pas suggérer de ne pas faire de son mieux. De l’autre côté il en est de même pour l’effet d’avoir une fille pour une mère, mais il ne faut pas oublier de considérer que le conseil d’un père soit important pour une fille, et réciproquement celui d’une mère pour un fils, ceci en vue d’une considération d’entente entre les deux sexes. En plus pour qu’un couple soit vraiment solide il faut qu’il connaisse l’amour de bienveillance qui implique de mettre la recherche du bien de quelqu’un d’autre à la place du sien, cependant ceci est possible uniquement dans la vertu donc pour un homme seulement si une femme agit normalement par rapport à sa propre nature et pour le bien de la communauté, donc d’une manière socialement correcte, ainsi pour le bien de l’homme ; selon quoi il faut que chaque moitié soit sûre que l’autre l’accompagnera là où il faut pour le bien de l’humanité, ce qui implique ici que la compétition (du genre guerre des sexes) soit impossible. Enfin nous pouvons remarquer que dans une famille ordonnée selon ces principes normaux et cohérents, la femme a un rôle unificateur entre le père et les enfants, en référant de la situation de manière à faire évoluer en retour l’éducation dans le sens de la société. Cependant le père honnêtement, en retour de ce que la société lui a offert, a comme motivation l’avenir de son pays, qu’il peut de manière optimale confondre avec l’aspect futur que lui apporte sa famille, ce qui fait qu’il pense constamment à l’un quand il pense à l’autre et réciproquement ; aussi il est normal qu’il réserve une partie de sa journée particulièrement à sa famille, en partageant les problèmes exposés par une femme qui n’a pas peur d’être honnête avec lui en fonction de la vertu qu’il témoigne, tout en se sentant aussi redevable à son pays. De manière générale nous pouvons noter que l’espoir fait vivre, et ici avancer revient à chercher des jours meilleurs et donc une entente paisible dans la population, ce qui s’incarne directement dans la famille, et pour ceci il faut construire et ce sentiment de construction pour le futur fait partie de ce qui donne envie de vivre à l’homme, comme si le fait de faire des enfants et de construire pour eux, était inscrit de manière innée dans sa nature par le déclenchement d’une joie de vivre venant de la déclaration d’une raison existentielle solide, symbolisée par les femmes et leur travail à bien préparer les enfants à devenir des adultes pleins d’espoir ; l’aspect futur de la descendance se trouve aussi être une raison de vivre solide pour la femme et ceci surtout si c’est assuré par la bonne volonté venant du travail masculin, ainsi réciproquement l’homme et ses efforts fertiles symbolisent l’espoir de la femme ; évidemment pour que ceci soit il est préférable d’avoir raisonné et prévu le fait d’avoir un enfant quand il arrive, ce qui laisse le temps de construire quelque chose avec sagesse pour pouvoir ensuite fonder une famille sur du stable et solide. Ainsi l’espoir humain le plus considérable paraît bien, comme celui de permettre une existence future durable et plus parfaite portant ses germes, et que nous retrouvons déjà de manière instinctive pour le spermatozoïde, ce qui le pousse à se diriger de manière déterminée pour intégrer l’ovule qui semble tout aussi instinctivement guider son chemin pour le même salut ; sens des choses qui se traduit dans l’humanité par la fusion instinctive et raisonnée entre les deux sexes dans l’espoir d’une existence future venant de leurs germes et profitant de leurs efforts allant dans le sens de lui offrir une perfection plus grande, cela de par une meilleure cohésion, l’évolution des découvertes, et le soutien que tout ceci nécessite.
Rappel d'une chose qui apparaît dans la partie 4 : "la femme peut toujours s’occuper d’autre chose que de ses enfants et de son homme, si elle le souhaite une fois que son rôle (de mère) devient moins important."
ReplyDelete