Tuesday, June 30, 2020

Pendant l'adolescence (partie 2)


Autrement l’épanouissement de notre corps avec le développement de l’appétit sexuel nous fait aussi réfléchir à ses nouveaux attributs qui sont censés mener à la procréation. Cependant l’aspect détaillé du prodige conceptuel, peut être enseigné, et ainsi devrait mener à une idée saine de cet acte, qui de manière raisonnée est une vertu. Autrement il y a quelques faits qu’il est bon de noter relativement au développement sexuel, pour éviter les excès stupides, comme le fait que ce qui compte pour la reproduction du côté masculin c’est la capacité de déplacement des spermatozoïdes, qui est en moyenne de 2.5 mm par minute pendant un minimum de douze heures, ce qui représente une marge de distance importante (mais le développement du pénis et sa santé ont leur importance) ; aussi du côté féminin pour l’allaitement il faut savoir que le lait étant composé en grande partie du chyle de la digestion de la mère qui auparavant était transmis par le nombril au fœtus, il y a normalement toujours possibilité d’allaitement selon l’excès de chyle restant dans le corps après accouchement, à moins que les seins soient trop petits (mais ils n’ont pas besoin d’être très gros, même si cela peut convenir), ou qu’ils soient en mauvaise santé ; la taille des mamelles n’est donc pas déterminante en général (considérée toute seule, même s’il y a un minimum à considérer), c’est surtout la présence de lobules glandulaires qui compte, donc attention à celles qui trichent avec le gras ou autre ; aussi des femmes ayant de la poitrine peuvent être stériles. Autrement avoir un corps en bonne santé est important pour la reproduction, ainsi les mensurations qui instinctivement sont attirantes chez l’autre sexe ont une importance médicale. De cette manière pour aider au bon développement du corps, il est possible de considérer une bonne alimentation (vitamines…) et le fait de faire du sport ; aussi sans considérer le plaisir, le massage du corps peut aider (mais le plaisir n’est pas forcément un problème). 

Tuesday, June 23, 2020

Pendant l’adolescence (partie 1)

   Au long de ce moment difficile de la vie : nous commençons à concevoir des règles de bien-être et tentons généralement de les appliquer avec des groupes d’amis afin de les préciser, en plus notre corps nous offrant plus ou moins la possibilité de passer les règles des autres nous testons l’utilité de la force ou au moins de la prestance, individuellement ou en groupe, afin de nous permettre vraiment de choisir et d’expérimenter la vie. Ainsi durant l’adolescence nous avons souvent un comportement plus ou moins rebelle (aussi la présence de problèmes de santé peut amplifier ceci, cf. « Pendant l’enfance » à la fin), mais ce qui doit vraiment être reproché est l’erreur volontaire car la nature humaine étant inférieure à celle de « l’ordre des choses », elle est irrémédiablement confrontée à ses lacunes ; donc l’obstination à faire ce que l’expérience nous a prouvé comme mauvais à répétition est généralement démoniaque, car nous devons éviter de prendre de mauvaises habitudes ; ainsi une mauvaise expérience, surtout si elle nous a été déconseillée, nécessite un délai pour au moins réfléchir, afin de savoir s’il y a une erreur corrigible ; aussi le vice par inexpérience est moindre, et encore plus celui contre lequel il n’y a pas eu de prévention. Mais il faut bien comprendre que durant cette période il y a une volonté de faire changer les choses qui vient du perpétuel changement de notre individu augmenté par la puberté, évidemment cette volonté se justifie en réalité un peu par le fait que la nature humaine est soumise à l’erreur, donc qu’il faille réexpérimenter les choses, pourtant l’humanité possède aussi des bases stables qui lui sont nécessaires pour évoluer et dont il faut accepter les limites ; cependant la certitude étant une constante, l’inconstance des choses à cet âge nous en donne peu, à part au moins celles que les choses changent, et que pour juger qu’elles changent il faut exister, et aussi des faits comme 1 et 1 font 2. Mais la situation est plus ou moins difficile, car à l’inconstance due à notre corps, des problèmes familiaux, et une inconstance dans nos idées due à trop d’erreurs dans nos efforts intellectuels, peuvent en rajouter, ainsi on peut finir par trop écouter ses sens car eux s’imposent à nous constamment, ou même tomber dans la plus totale anarchie à tous les égards (cela ne doit pas m’être attribué, comme d’autres choses, cependant ici je précise), mais alors c’est le sentiment de mort et de désespoir qui s’installe ; et plus notre monde est instable, plus il en est ainsi, ceci évidemment à partir d’une limite normale de changement car il ne faut pas se cloisonner dans la plus totale immobilité.

Tuesday, June 16, 2020

Pendant l’enfance (partie 2 et fin)

   Enfin considérons des faits psychologiques donc d’analyse interne à prendre en compte pour assumer l’esprit, donc bien le conseiller, ceci pouvant être par l’intermédiaire de l’éducation parentale ; d’abord notons que pendant la croissance nous sommes plus en proie à la superstition à cause de raisonnements incomplets, en plus nous ne connaissons pas encore bien nos limites et nous voyons sans cesse nos capacités augmenter, nous avons donc facilement tendance à nous imaginer des supers pouvoirs ; à moins que des substances nocives viennent inhiber nos progrès ou que nous nous sous-estimions, ce qui n’est pas mieux, sachant quand même que ces substances peuvent augmenter une croyance déjà présente en certains supers pouvoirs, comme la capacité de contacter de manière irrationnelle et schizoïde des esprits, bien qu’ici ils ne semblent pas très bons conseillers. Ainsi il est bon de remarquer que logiquement pour être sûrs de ce que nous avons vu nous allons le regarder, donc pour être sûrs de ce qui arrive jusqu’à notre âme, comme un enchaînement de mots venant de notre intérieur (par excitation de la mémoire auditive), nous allons le raisonner. Au sujet de la passion pour bien définir son mode il est possible de noter que dans son sens général elle témoigne la passivité de la raison donc l’inconscient, car elle correspond à un songe ou à une émotion qui revient dans des conditions similaires, et qui dans certains cas ayant été raisonnée auparavant se trouve ensuite comme programmée et de même que pour les autres souvenirs peut devenir selon la périodicité de manifestation ce qu’on appelle aussi une habitude ; et dans un sens plus particulier il y a la passion de l’âme qui est relative à l’émotion, et non aux aléas du cerveau qui viennent, le procédé émotif mis à part, du souvenir ou de l’habitude, sans pour autant rejeter l’analogie automatique. Ensuite, en plus du problème venant du choix entre passion et raison, il y a le fait qu’il nous arrive de parler seuls, ce qui d’une manière est logique donc normal car nous pouvons ressentir le besoin de préparer une conversation (tout en évitant de déranger les personnes environnantes), et d’une autre part cela soulage le cerveau par rapport au fait de faire un discours interne (comme pour ceux qui pensent beaucoup et passent par la parole), ce qui en plus risque de déclencher des voix intérieures (ou plus de ces voix) par habitude (1). Cependant parler seul peut aussi être mauvais si cela révèle le fait que nous pensons que ces voix intérieures sont en fait des interventions extérieures et qu’ainsi nous croyons devoir leur répondre en considérant que nous ne sommes vraiment pas seuls ; le système de communication de « l’ordre des choses » et des sous-ordres supérieurs (au potentiel de la pensée humaine) est la logique dans l’absolu, mais il ne faut pas penser que nous puissions converser avec eux comme avec un humain, puisque si « l’ordre des choses » a donné à l’humain une âme pour qu’il puisse arranger le désordre de l’ensemble des données qui se bousculent dans son encéphale, ce n’est pas pour en rajouter encore plus par des interventions difficilement prouvables et que l’esprit ne pourrait pas vraiment différencier de faits mémoriels qu’on ne peut plus situer dans le temps, donc qui se présentent comme indéterminés en premier temps ; logique qui peut aussi s’appliquer au rejet de la capacité de télépathie entre humains. Venant s’ajouter au choix entre passion et raison, et aux nuances du fait de parler seul, il y a différents types d’angoisses et dans notre cas ce sont celles relatives à la pensée que nous considérons, aussi celles-ci sont vraiment gênantes quand elles sont chroniques et/ou trop accentuées ; ainsi nous pouvons considérer l’angoisse liée à la performance de l’esprit pouvant pousser à une surexcitation donc à un état maniaque, et/ou à une dépression par déception pouvant venir de problèmes de croissance ou/et déjà psychologiques ; ici il faut donc accepter et faire accepter ses limites sans se sous-estimer, ce à quoi les parents doivent aider au moins en ne culpabilisant pas trop l’enfant, aussi ils peuvent aider à connaître et accepter les limites de la pensée humaine, en plus il faut qu’ils aident à éviter la prise excessive d’excitants comme la caféine ou théine, qui peuvent alors agir comme de la drogue en rajoutant des angoisses par le cumul de fatigue et l’agressivité qui en découle. Autrement il y a des angoisses venant d’autopersuasions et pouvant mener à des phobies ; ici les parents pourront aider par des explications bien faites et des confrontations bien menées. Enfin il y a les angoisses venant de l’anticipation, que permet l’esprit, qui peut dériver de manière morbide donc obsessionnelle pour un fait isolé, ou phobique pour un fait qui se présente assez souvent ; ici pour la phobie nous en revenons à la considération précédente, et pour le fait isolé il est bon d’aider à combattre le sens masochiste pouvant venir de la sous-estime de soi (aussi j’aimerais bien qu’on évite de m’attribuer tous les maux dont je relate, car je serais vraiment une autre personne). En plus une dernière chose intéressante : la douleur chronique provoque une agressivité chronique, aussi l’agressivité et la folie vont souvent ensemble. Et ceci fonctionne sans la testostérone, ce n’est pas l’agressivité rationnelle de la testostérone (la virilité n’est pas une maladie) ; les personnes âgées ont les hormones sexuelles diminuées, mais souvent l’agressivité en hausse à cause de leurs problèmes de santé (mais il y a des calmants mieux que le cannabis pour ceci).
(1) : Je dois bien gérer la chose car je n’ai pas trop de ce genre d’intervention, mais ceci est à considérer ; aussi je veux prévenir contre les  interprétations religieuses dangereuses au sujet des voix (de Dieu…).

Tuesday, June 9, 2020

Pendant l’enfance (partie 1)

   Il n’y a pas que le fait de parler qui perfectionne notre analyse mais aussi le fait de pouvoir lire des propositions, pour ainsi avoir le temps d’en distinguer le plus nettement possible chacune des parties, d’en trouver toutes les facettes et de mettre du rapport dans tout ceci ; ainsi il est important de pouvoir écrire ou dessiner pour permettre à soi et aux autres d’approfondir ce que nous devons comprendre. En plus si la parole vient avec le nombre croissant de concepts qui s’attachent à notre vie : ceci implique qu’il faille aussi les dénombrer, donc apprendre à compter et aussi à chiffrer les choses de manière à mesurer toutes leurs facettes et symboliser leurs rapports, ceci pour une meilleure analyse, et donc une meilleure connaissance de chaque chose. Mais souvent nous devons en même temps à cette période suivre sans choix les règles de nos parents et professeurs, car il y a des choses dont la découverte risque de mettre notre vie en danger, en plus la notion de bien-être étant étendue dans le temps : parfois un moindre mal est préférable pour un plus grand bien, mais nous n’en avons pas toujours conscience car notre manque d’expériences utiles ne nous donne pas assez le sens du discernement, et nous nous fions trop à nos sens ; certes nous sommes raisonnables mais pas suffisamment raisonnés. Pourtant il est important que la confiance puisse nous permettre de nous enquérir des expériences et des acquis de nos prédécesseurs car il y a des choses que la durée d’une vie ne nous permettra jamais de connaître, ainsi la discipline semble bonne quand elle évite des problèmes. En plus cette période étant scolaire elle nous apprend quelques principes de vie en société et donc à catégoriser et à évaluer les différences de chacun, donc aussi à nous méfier des préjugés en nous initiant à la relativisation (mais l’instinct est important), et à accorder un minimum de respect aux autres. 

Tuesday, June 2, 2020

Pendant l’enfance préscolaire (partie 3 et fin)

   Enfin pour conclure sur la déclaration de l’âme raisonnable il faut bien remarquer que pendant la période considérée les différents aspects de la raison se manifestent à un niveau assez peu développé, bien que déjà présents, en effet pour ce qui est de la construction cela ne dépasse guère les cabanes, les engins imaginaires extraordinaires ou autres structures en assemblage de type jeu de construction ou d’ornement ; cependant même après la maturité du corps, la perfection de cette capacité et des autres pourra évoluer par l’exercice (surtout pour ceux qui n’ont pas exploité à fond leur potentiel, sinon comme en sport, il peut devenir difficile de faire mieux).

Autres blogs

Il est possible de trouver d'autres de mes blogs ici :     https://www.blogger.com/profile/07223106494481146426