Tuesday, July 21, 2020

Pendant l'adolescence (partie 5)

   Au sujet de la joie, car c’est ce que les adolescents recherchent en faisant la fête, la joie est un processus biologique dans le corps humain et pour être joyeux nous avons besoin que ce processus soit en bonne santé, et ceci va avec la santé du reste du corps. Ainsi avec un tel mécanisme en bonne santé, il peut être plus facile d’être heureux avec mois d’efforts (temps, argent, souffrance,…) que quelqu’un en mauvaise santé (en général) ; de cette manière on peut calculer son bonheur, par exemple pour avoir de l’argent, il y a souvent une destruction de la santé (psychique et/ou physique) en compensation. Mais va-t-on vraiment y trouver son compte ? De plus la drogue, l’alcool, et les choses du même genre peuvent donner de la joie mais en même temps, ces produits endommagent son processus en général, et la solution n’est pas l’erreur d’en prendre plus pour être heureux (généralement c’est l’erreur des gays sans vouloir être désagréable, et cette recherche compréhensible de l’ambiance festive est peut-être à l’origine de cette appellation, mais ils ne sont pas les seuls dans cette erreur ; cependant ce n’est pas une preuve intelligente de virilité que d’être plus ou moins résistant à  ces produits, ceci se calcule en termes de bonheur, être viril et heureux c’est possible). Aussi ce problème de joie relatif à la santé fonctionne aussi avec la sexualité, par exemple souvent les femmes (on peut trouver un certains nombre de témoignages) qui consomment du cannabis perdent du plaisir  (ici indirectement) à cause d’une irritation, même si cela ne se produit pas tout de suite (sécheresse vaginale puis vulvo-vaginite, il semble que comme pour la bouche et les yeux, il y ait une sécheresse, les muqueuses s’abîment), après ce n’est pas facile d’avoir une sexualité normale, donc des enfants.


  Autrement, une remarque relativement à mes publications sur ce blog : je laisse des commentaires, pour certaines publications, aussi pour les lire, il est possible de cliquer sur le titre, ainsi le(s) commentaire(s) devrait(ent) apparaître en bas, si j'ai mis quelque chose.

8 comments:

  1. Ceci ne concerne pas seulement les adolescents.

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  2. Pour certains c'est un véritable cercle vicieux, car l'alcool par exemple les rend agressifs (mais ce n'est pas l'agressivité de la testostérone bien souvent, comme nous le verrons ensuite), mais quand ils se calment se sentant devenir moins masculins à cause de l'atteinte de leur santé, ce qu'ils ne veulent pas, ils deviennent agressifs ...

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  3. Pour les femmes c'est la féminité qui peut être en baisse relativement au dernier commentaire (problème de production et circulation des hormones par exemple), et l'agressivité n'arrange rien ; avec cela elles peuvent avoir l'impression de devenir folles.

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  4. Le tabac et le cannabis attaquent la circulation sanguine, d'après ce qu'on peut lire, d'où mauvaise irrigation des glandes hormonales et mauvaise circulation des hormones.

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  5. Autrement, il m'est arrivé de faire la fête en buvant et fumant, je ne suis pas devenu "gay" (c'est plutôt comme cela que je rencontrais mes compagnes), mais j'en ai croisé un certain nombre, et j'ai pu voir évoluer un certain nombre de personne.

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  6. J'ai su m'arrêter quand il le fallait (relativement à tout ce qu'il y a de toxique), et je ne suis devenu, ni fou, ni efféminé. Aussi j'avais peur de donner le mauvais exemple, car j'avais un physique résistant (je suis naturellement doué en sport), mais ce n'est pas le cas de tout le monde ; même de certains plus grands que moi (je mesure 1m70cm, ou environ si cela a un peu changer avec ce que je fais en médecine).

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  7. Aussi mon intelligence me permettait à une certaine période de réussir mes examens tout en faisant la fête, mais quand j'ai publié mon livre en 2006, je pensais aussi prouver à certains que je pouvais beaucoup mieux faire sans consommer certains produits mauvais pour la santé (cela était bon pour ma conscience).

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  8. Relativement à l'avant-dernier commentaire, je dois préciser que pour certains le problème n'est pas de devenir efféminé (ce qui se passe surtout avec l'excès de graisse, il semble), mais infantile, car le niveau de testostérone devient par moment équivalent à celui d'un enfant (les hormones sexuelles diminuent souvent après un certain âge mais cela est moins rapide, donc moins sensible).

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