Si vous pensez à la médecine pour développer vos capacités intellectuelles : sachez que si nous respectons notre bon sens, il est clair que nous trouvons que pour vivre, nous devons manger et boire des produits variés qui ne détruisent pas le fonctionnement de l’encéphale et du reste du corps. Et finalement, il n’y a pas de substance qui puisse rendre plus intelligents que ceux qui le sont naturellement à terme, si cela n’est pas dans le potentiel génétique, et si j’arrive personnellement à optimiser les choses relativement à ce potentiel (par des méthodes physiques et chimiques), je ne modifie pas le génome. Autrement on peut essayer de réduire la fatigue (sans considérer de problème de fatigue anormal), mais si cela peut arriver temporairement la dégradation de l’organisme qui vient avec est souvent lourde à terme (il faudrait donc que cela ne soit pas souvent), c’est un cercle vicieux car cela peut être mieux aujourd’hui, mais sera aussi beaucoup moins bien demain : considérons la caféine ou théine au quotidien par exemple et l’altération du système nerveux issue du fait qu’oublier la fatigue ne remplace pas le repos. Le bilan reste toujours malsain suivant la logique du produit qui offre des supers pouvoirs (au-dessus de notre potentiel génétique) ; c’est bien meilleur de laisser à l’encéphale le temps d’organiser les pensées et de prendre de bonnes habitudes, cela demande juste la patience des délais nécessaires, repos compris et incontournable, et tout ceci permettra ensuite d’enchaîner les idées avec promptitude tout en les gardant nettes et précises, si cela est dans votre potentiel. De plus, la médecine est bien utile, mais il y a beaucoup de tricheurs, ainsi voici quelques points de repère : Aristote, Démocrite et Leucippe de Millet étaient déjà fort bons penseurs, bien que leurs vérités étaient tronquées par rapport aux nôtres, environs 500 ans avant le début de notre calendrier actuel, et n’oublions pas Socrate qui aurait vécu jusqu’à 70 ans au moins avant de mourir d’une peine de mort qui lui a fait boire la ciguë. Mais la médecine aussi a ses repères si nous considérons Hippocrate qui, à la même époque, malgré des connaissances basiques par rapport à celles d’aujourd’hui aurait vécu jusqu’à 83 ans, et il va de soi qu’à la base sa manière raisonnée de vivre y a sûrement beaucoup contribué.
Aussi voici quelques repères relativement à l'espérance de vie : en Grèce antique elle était environ de 30 ans (donc à la période de ceux que j'ai cités) ; en Grèce à présent (même s'il ne faut la confondre avec la Grèce antique), elle est d'environ 80 ans ; en France en 1750, elle était environ de 25 ans ; et à présent environ de 80 ans (sans égard au sexe). Enfin si mon projet présent se déroule bien, je devrais (comme cela se passait en Grèce antique) vivre plus longtemps que le reste de la population.
ReplyDeleteAutrement, il apparaît que Socrate buvait de l'alcool, ce qui rend un minimum agressif, et qui pourrait expliquer son côté provocateur. Ainsi, il est difficile de juger sa condamnation, car en plus il devenait vieux et les problèmes de santé venant avec l'âge ajoutent de l'agressivité.
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