Unités qui créent et entretiennent un ensemble ou équilibre
donné (en fait ce sont des sous-ordres de « l’ordre des choses »).
Cette appellation convient ici aux logiques supérieures à l’esprit humain car
leur supériorité fait qu’elles sont comme si elles avaient conscience de tout
ce que fait l’humain et donc même de sa conscience, bien qu’elles agissent
selon un ordre bien défini qui implique la prédisposition, ceci car leur
perfection fait qu’elles aient une conscience instantanée, confondue avec leur
volonté et leur entendement ; cependant elles peuvent s’incarner d’une
manière un peu inférieure dans l’être humain, qui ainsi doit éviter la
superstition car sa compréhension de la prédisposition est partielle, il ne
doit donc mettre du rapport qu’entre les choses où il sait qu’il s’en trouve
par suite logique, et ne pas penser ordonner matériellement certains faits
uniquement par la pensée, donc de manière schizoïde, car le corps est
l’intermédiaire incontournable de l’action humaine sur l’extérieur. Enfin selon
cette définition nous pouvons comprendre qu’une bête n’a pas d’âme établie dans
son encéphale, alors que l’ensemble des bêtes en a une gérant toutes leurs
actions réunies ; aussi la conception des animaux en a une, ce qui
implique que si l’être humain possède une âme personnelle, son corps lui est conçu
par une autre supérieure qui comprend aussi les bêtes.
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