Tuesday, April 14, 2020

Définition : l’encéphale


L’encéphale est un organe commun à tous les animaux vertébrés, il se trouve placé dans la boite crânienne, aussi il est prolongé par les nerfs via la moelle épinière sauf pour les nerfs crâniens ; ses fonctions principales et communes servent à la gestion de ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur du corps, par l’intermédiaire des sens qui sont divisés en la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat ; ceux-ci véhiculent les informations par les nerfs jusqu’à des zones spécifiques de l’encéphale, qui ensuite gère les actions. L’ensemble des nerfs, lui est divisé en deux parties générales la réceptrice et la motrice ; le rôle sensitif donc récepteur est toujours actif plus ou moins ; pour ce qui est du rôle moteur, il se distingue encore en deux sous-parties, la végétative qui gère uniquement les actions nécessaires comme la respiration, la faim, l’appétit sexuel, la digestion, le fonctionnement cardiaque, le système sanguin, etc... ; et la partie somatique qui gère selon les aléas de la vie les actions sur l’extérieur de manière directe, et indirecte par la programmation contingente via les habitudes et souvenirs issus d’actions qui se reproduisent de la même manière.
L’encéphale dans sa gestion des données a certaines fonctions définies comme la mémorisation, qui permet d’emmagasiner des logiques, qui pourront ensuite se déclencher automatiquement dans une situation en partie analogue à celle mémorisée ; notons qu’il procède du déclenchement une imagination donc une action interne, qui peut être accompagnée par un mouvement du corps sur le monde extérieur. L’imagination est donc aussi une fonction importante qui permet de conduire des sensations issues des cinq sens en différé, formant ainsi des combinaisons logiques inconscientes, qui peuvent être à la base des problèmes psychosomatiques liés à des troubles physiques passés ; en plus de ceci elle gère les rêves par ses aléas, à ce sujet il faut savoir que seul « l’ordre des choses » connaît la place du rêve dans les actions animales (l’âme de l’existence des animaux par exemple ayant une compréhension moins complète, voir une définition à venir), car le songe endormi peut être juste révélateur d’une volonté ou inclination qui n’aura pas lieu ; ou cause d’un enchaînement d’idées récentes et indépendantes qui pourra être chimérique donc faux, ou juste et qui se passera ; ou venir d’un enchaînement appris où les idées sont donc dépendantes ; ou encore du souvenir d’une chose périodique, ce qui revient au déclenchement automatique décrit ci-devant. Les origines du rêve peuvent donc être diverses mais une trace reste plus ou moins dans la mémoire et peut donc ensuite durant l’éveil influencer l’ordre des idées selon celui qu’offre la mémoire. Autrement de l’activité de l’encéphale accompagné du reste du système nerveux viennent aussi les sentiments à leur premier degré, qui peuvent se résumer par la combinaison de six sentiments premiers qui sont le désir qui est une inclination vers l’obtention d’une chose ressentie comme manquante ou venant à manquer, dont la variation peut mener au blasement ou absence de désir par excès d’une chose, puis à l’aversion qui est le désir de ne plus ou pas posséder une chose; aussi il y a l’admiration en tant qu’étonnement devant une chose nouvelle qui déclenche une attention prolongée ; ensuite la joie et la tristesse qui expriment le bien-être et le mal-être ; enfin la confiance pouvant mener à l’amour et la peur pouvant mener à la haine, qui viennent dans un premier temps du résultat de l’admiration.
Enfin remarquons que les capacités exprimées dans cette description générale de l’encéphale permettent des actions techniques communes aux animaux vertébrés et leur transmission d’une génération à l’autre. Généralement l’apprentissage de ces techniques se fait par un enchaînement d’actions ayant mené à un sentiment de bien-être et donc bien mémorisé ; mais les capacités d’analyser son analyse sensorielle primitive, d’analyser sa capacité permettant d’analyser son analyse primitive, de déduire et d’induire une analyse méthodique, et celle d’avoir des constructions inventives et non imitatives pouvant être des méthodes d’analyses nécessitant des inventions techniques, ne sont pas considérées car elles ne sont pas des capacités animales communes.

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