L’encéphale est un organe commun à tous les animaux
vertébrés, il se trouve placé dans la boite crânienne, aussi il est prolongé
par les nerfs via la moelle épinière sauf pour les nerfs crâniens ; ses
fonctions principales et communes servent à la gestion de ce qui se passe à
l’intérieur et à l’extérieur du corps, par l’intermédiaire des sens qui sont
divisés en la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat ; ceux-ci
véhiculent les informations par les nerfs jusqu’à des zones spécifiques de
l’encéphale, qui ensuite gère les actions. L’ensemble des nerfs, lui est divisé
en deux parties générales la réceptrice et la motrice ; le rôle sensitif
donc récepteur est toujours actif plus ou moins ; pour ce qui est du rôle
moteur, il se distingue encore en deux sous-parties, la végétative qui gère
uniquement les actions nécessaires comme la respiration, la faim, l’appétit
sexuel, la digestion, le fonctionnement cardiaque, le système sanguin,
etc... ; et la partie somatique qui gère selon les aléas de la vie les
actions sur l’extérieur de manière directe, et indirecte par la programmation
contingente via les habitudes et souvenirs issus d’actions qui se reproduisent
de la même manière.
L’encéphale dans sa gestion des données a certaines
fonctions définies comme la mémorisation, qui permet d’emmagasiner des
logiques, qui pourront ensuite se déclencher automatiquement dans une situation
en partie analogue à celle mémorisée ; notons qu’il procède du
déclenchement une imagination donc une action interne, qui peut être
accompagnée par un mouvement du corps sur le monde extérieur. L’imagination est
donc aussi une fonction importante qui permet de conduire des sensations issues
des cinq sens en différé, formant ainsi des combinaisons logiques
inconscientes, qui peuvent être à la base des problèmes psychosomatiques liés à
des troubles physiques passés ; en plus de ceci elle gère les rêves par
ses aléas, à ce sujet il faut savoir que seul « l’ordre des choses »
connaît la place du rêve dans les actions animales (l’âme de l’existence des
animaux par exemple ayant une compréhension moins complète, voir une définition
à venir), car le songe endormi peut être juste révélateur d’une volonté ou
inclination qui n’aura pas lieu ; ou cause d’un enchaînement d’idées
récentes et indépendantes qui pourra être chimérique donc faux, ou juste et qui
se passera ; ou venir d’un enchaînement appris où les idées sont donc
dépendantes ; ou encore du souvenir d’une chose périodique, ce qui revient
au déclenchement automatique décrit ci-devant. Les origines du rêve peuvent
donc être diverses mais une trace reste plus ou moins dans la mémoire et peut
donc ensuite durant l’éveil influencer l’ordre des idées selon celui qu’offre
la mémoire. Autrement de l’activité de l’encéphale accompagné du reste du
système nerveux viennent aussi les sentiments à leur premier degré, qui peuvent
se résumer par la combinaison de six sentiments premiers qui sont le désir qui
est une inclination vers l’obtention d’une chose ressentie comme manquante ou
venant à manquer, dont la variation peut mener au blasement ou absence de désir
par excès d’une chose, puis à l’aversion qui est le désir de ne plus ou pas
posséder une chose; aussi il y a l’admiration en tant qu’étonnement
devant une chose nouvelle qui déclenche une attention prolongée ; ensuite
la joie et la tristesse qui expriment le bien-être et le mal-être ; enfin la
confiance pouvant mener à l’amour et la peur pouvant mener à la haine, qui
viennent dans un premier temps du résultat de l’admiration.
Enfin remarquons que les capacités exprimées dans
cette description générale de l’encéphale permettent des actions techniques
communes aux animaux vertébrés et leur transmission d’une génération à l’autre.
Généralement l’apprentissage de ces techniques se fait par un enchaînement
d’actions ayant mené à un sentiment de bien-être et donc bien mémorisé ;
mais les capacités d’analyser son analyse sensorielle primitive, d’analyser sa
capacité permettant d’analyser son analyse primitive, de déduire et d’induire
une analyse méthodique, et celle d’avoir des constructions inventives et non
imitatives pouvant être des méthodes d’analyses nécessitant des inventions
techniques, ne sont pas considérées car elles ne sont pas des capacités
animales communes.
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