Santé, psychologie, médecine, recherche, Serge LE COZ, Serge L'ETERNEL
Tuesday, May 12, 2020
A la naissance
D’abord selon l’ordre vertueux notre mère nous met au monde dans l’espérance d’un moindre mal pour un plus grand bien, ensuite normalement nous respirons dans un cri de mécontentement alarmant, nous savons donc exprimer notre mal-être et ceci car nous avons soif, faim, et froid, en plus nous ne sommes pas habitués à ce fluide frais qui pénètre nos poumons ; pour remédier à ceci en partie, instinctivement nous aspirons ce qu’on nous met dans la bouche, et qui est normalement à peu prés équivalent à ce que nous recevions par le nombril ; ainsi naturellement au chaud au contact du sein maternel, la soif et la faim sont pourvues, donc nous exprimons généralement un son de bien-être doux et agréable. Tout ceci est dans le sens de ce qui est vraiment utile à la conservation de notre être et ne demande aucun choix car nous agissons encore instinctivement comme des bêtes de par l’assouvissement de désirs du premier degré, cependant nous commençons basiquement à initialiser notre sens logique en mémorisant des sensations liées, et en prenant certaines habitudes. D’ailleurs je tiens à préciser que pousser des bêtes à faire des choses qui paraissent intelligibles à l’homme n’est pas une preuve de leur intelligence, car elles ne posséderont jamais suffisamment le sens de l’analyse, de manière à faire des choix difficiles, ainsi ce qui les fait agir selon notre volonté c’est notre domination qui doit être la moins douloureuse possible, le soulagement comme celui de la faim, la mémorisation de ces faits, et l’habitude, mais non l’analyse de notre désir, elles agissent donc par passion et non par raison ; ceci vient du fait qu’elles n’ont pas la possibilité d’arranger leurs souvenirs consciemment pour gérer leurs actions, ainsi elles ne comprennent pas la logique naturelle par laquelle nous les faisons agir, et elles suivent juste des sentiments du premier degré qui nous permettent de les programmer, selon les possibilités que « l’ordre des choses » nous laisse accessibles ; cependant il est vrai que de manière autonome les bêtes ont des capacités techniques en considérant que certains faits contingents ou certaines situations auxquels elles auront été confrontées auront pu leur apporter du bien-être, donc elles les mémoriseront pour pouvoir les réutiliser plus tard, ce qui peut permettre par exemple l’utilisation d’un objet pouvant être assimilé à un outil.
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Il est utile de mettre en avant la différence qui fait que l'humain domine les autres animaux, elle permet aussi de savoir quels sont les humains dominants ; mais je n'ai rien contre les autres animaux, ils peuvent être très utiles donc agréables, si on ne les utilise pas de manière trop égoïste, donc sans considérer le cadre de vie qu'il leur faut pour être heureux par exemple.
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