Santé, psychologie, médecine, recherche, Serge LE COZ, Serge L'ETERNEL
Tuesday, May 26, 2020
Pendant l’enfance préscolaire (partie 2)
En considérant tous ces aspects de la raison nous remarquons que plus nous l’utilisons plus nous sommes propres à juger la cohérence, les différences, et les priorités, de plusieurs propositions ; ceci particulièrement pour ce qui est de la construction de raisonnements vrais et non de vils sophismes car il faut observer que après comparaison ou analogie de plusieurs constructions logiques ou hypothèses, c’est évidemment la plus certaine, donc la plus cohérente et complète, qui doit être utilisée ; cependant le temps ici devient déterminant car c’est si nous en disposons que nous pouvons faire une analyse en détail, mais ce n’est pas tout car il faut aussi avoir la patience vertueuse d’étudier une proposition sous toutes les facettes que nous connaissons : ce qui s’apprend normalement facilement car ainsi la conclusion sera généralement bien meilleure et ira plus directement vers le bien-être, comme on le constate pour la correction des sens qui permet d’éviter l’erreur des effets d’optique. D’ailleurs il y a un phénomène qu’il ne faut pas confondre avec les effets d’optique, qui est le daltonisme, mais que je vais développer un peu (pour un cas de celui-ci) pour illustrer le jalonnement de la perception animale en général, donc l’analyse primitive qui offre les éléments premiers du raisonnement, et ainsi les limites de la certitude ; car dans le cas de ce daltonisme ce n’est pas comme si une couleur était simplement inversée avec une autre, ce qui ne poserait pas vraiment de problème, puisque si cela était pour la vie et qu’une perception de couleur était associée avec tout ce qui lui est relatif, les choses une fois définies cela ne devrait strictement rien changer : si la nuance du rouge était définie pour untel vert et inversement, et qu’il utilisait ainsi le rouge en disant que c’est du vert tout en faisant les mêmes associations avec les objets que les autres personnes pour ce qui est du vert, les raisonnements resteraient les mêmes et personne ne pourrait se rendre compte de l’inversion, la couleur est donc avant tout un rapport et non une nuance, relativement à notre analyse ; pour qu’il y ait un problème il faut qu’une même chose soit perçue un jour verte et un autre rouge, donc qu’il y ait confusion comme ceci est le cas pour une sorte de daltonisme. Ici nous nous rendons donc compte que ce que nos sens nous décrivent n’est peut-être pas totalement la vérité, mais il y a tout de même des constantes dans les notions premières de l’être des choses comme les nuances dans l’absorption lumineuse mais aussi dans l’occupation de l’espace, le mouvement, la densité, la résistance, la texture ; ce qui implique les différences dans les vibrations donnant le son, et les structures moléculaires détectées par le goût et l’odeur. Il faut tout de même avouer qu’il serait absurde que « l’ordre des choses » nous ait créés de manière à ce que nous nous trompions toujours relativement à la vérité absolue.
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Relativement aux effets d'optique, il y a d'autres perceptions qu'on peut ajouter, par exemple au sujet du goût, il peut changer (pour un même aliment) en fonction de la température, ou des odeurs (même faibles) qui sont présentes, par exemple avec les saisons (odeur des arbres en fleurs...).
ReplyDeleteIl y a aussi les effets sonores, les bruits qu'on peut confondre avec une voix ...
ReplyDeleteDans le premier commentaire, relativement à la température, je ne veux pas relater de cuisson, mais d'un changement plus faible de température (de la pièce ...).
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